Photoreportage
Léa Meunier
Depuis plusieurs années, Montréal subit d’innombrables travaux qui affectent grandement la vie des citoyens mais surtout les commerces locaux de certains quartiers. J’ai donc décidé d’aller voir une amie qui vient de démarrer son entreprise en restauration. Il y a trois semaines, Mayim ouvre les portes de sa nouvelle épicerie libanaise sur la rue Notre Dame. Lulu épicerie. Elle croyait avoir trouvé l’endroit idéal dans un quartier effervescent et en constant développement. Ce n’est pas facile de partir un commerce après une pandémie. C’est un grand défi qui demande beaucoup de courage et de travail. La situation est remplie d’incertitudes et toujours inconstante. Quelques jours après l'ouverture, Mayim se retrouve avec des travaux cinq jours semaines devant son épicerie.
Les travaux sont reconnus à Montréal pour ruiner les commerces. Des travaux sur certaines rue commerciale qui ont duré trop longtemps ont causé la fermeture de plusieurs commerces. Voici un restaurant affecté par les travaux ainsi que des commerces qui ont fermés. Maintenant c'est le tour de la rue Notre Dame de subir des travaux majeurs. L'épicerie Lulu fera parti des commerces affectés.
« Ici, nos oranges sont un succès ou un échec, mais au Liban, ils sont inébranlables. Du jus, de la douceur, de la maturité dont vous avez envie et sur lesquels vous pouvez compter, autant que vous pouvez compter sur Lulu pour vous appeler à la seconde où vous descendez de l'avion pour vous demander ce que vous voulez manger, vous assurant qu'elle l'aura prêt, autant que vous voulez, comme vous l'aimez. Tout ce dont tu as envie – Ce réconfort, cet amour inébranlable. » - Mayim Salomé
Mayim voulait crée un espace qui ramène les gens au Liban. Des produits frais et des mets traditionnels qui nous font penser à la maison.
Un service attentionné qui reflète les gens de son pays. La nourriture est très importante dans culture libanaise. Il faut toujours s’assurer que nos invité n’on jamais faim.
Les travaux les empêchent d’avoir la visibilité qu’un nouveau commerce aurait facilement à leur ouverture. La mission de Mayim était de créer une cuisine accessible et réconfortante à l’image du Liban. Un lieu de rassemblement ou la communauté se sent chez eux.
Le manque de stationnement, le bruit, la poussière et un accès piéton limité crée un chao qui éloigne les clients.
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